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Affaire Taylor Swift: la prolifération des «deepfakes» est jugée «alarmante et terrible». Comment les combattre?

Créées avec des logiciels utilisant l’intelligence artificielle, des photos et des vidéos pornographiques de la star ont été vues des millions de fois. Face à ce fléau, des solutions techniques et juridiques sont esquissées. Mais leur efficacité est incertaine

Taylor Swift. (Photo by Evan Agostini/Invision/AP, File) — © Evan Agostini / keystone-sda.ch
Taylor Swift. (Photo by Evan Agostini/Invision/AP, File) — © Evan Agostini / keystone-sda.ch

Les chiffres disent tout d’un phénomène hors de contrôle. Des images vues plus de 45 millions de fois, republiées plus de 24 000 fois, recueillant des centaines de milliers de likes… Taylor Swift, star mondiale de la musique, est devenue en quelques heures la star des deepfakes. Depuis quelques jours, des fausses photos et vidéos de la chanteuse américaine ont inondé le web, partagées notamment sur le réseau social X. Comment lutter contre ce fléau massif, touchant également de plus en plus d’inconnues et de mineures?

Lire aussi: Les fausses vidéos turques, un avant-goût de menaces plus importantes encore

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